Illustration de couverture : l'Espagne
anesthésiée, soumise à la psycho-chirurgie révolutionnaire.
© Société Française pour la Défense de la Tradition,
Famille et Propriété - TFP, 1989
12, avenue de Lowendal 75007 PARIS -
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Table des Matières
Préface
I.
Une révolution «terrible», «effarante», quoique «silencieuse» et
«tranquille»
II. Révolution culturelle
1. Une révolution dans les manières de sentir, d'agir et de penser
2. La révolution culturelle, une priorité avant les transformations socio-économiques
3. Une révolution surtout psychologique, pour désintégrer l'actuel ordre de choses
4. Un radicalisme dissimulé par une atmosphère pragmatique et festive
5. Le nouveau prolétariat
III. L'ambiance
relativiste, bouillon de culture pour la
néo-révolution
1. Un climat relativiste et anesthésiant dans la vie publique
2. Consensus irénique et relativiste, qui affecte les adversaires naturels du socialisme:
a) l'Episcopat espagnol
b) les leaders politiques de forces contraires au socialisme
3. Pour le gouvernement, le «problème fondamental» est d'en finir avec les «deux Espagne»
4. Le socialisme affecte de renoncer à ses «dogmes»
5. «Un pays à la sieste»
6. Une apathie produite artificiellement
7. Le relativisme, facteur de paix ou de désordre ?
Les nouveaux monarchistes:
Des socialistes qui acceptent la Monarchie…
Une image qui suggère une sensation d'ordre
L'objectif socialiste
IV. La révolution
«effarante» dans les faits
1. Procès à toutes les gloires du passé espagnol
2. Famille : destruction de ses fondements institutionnels et subversion au foyer
3. Une école autogestionnaire pour transformer les mentalités. La démolition totale, mais «tolérante», de l'enseignement traditionnel
4. Objectif de la «démocratie morale» : l'immoralité complète
5. «Relativiser» la propriété, pour la collectiviser ensuite
6. Désagrégation de l'Etat vers une confédération de communes autogestionnaires
7. Terrorisme du blasphème et du sacrilège
L’autogestion, utopie commune aux socialistes, communistes et anarchistes
Une dictature à la soviétique, en pire
V. La
«psycho-chirugie» révolutionnaire
VI. Un «homme nouveau» pour une «nouvelle société»
1. Un Espagnol qui renie son passé
2. Un homme sans certitudes, qui vit du consensus
VII. Appel respectueux et filial à l’épiscopat espagnol
1. L'influence décisive de l'Eglise sur les événements
actuels
2. La soumission aux Pasteurs légitimes
3. L'angoisse des catholiques devant le rôle joué par la Hiérarchie à cette
croisée des chemins
4. Après la guerre civile, des fractions chaque fois plus importantes de la
Hiérarchie ont progressivement abandonné les positions traditionnelles
5. L'ensemble de l'Episcopat ne défend déjà plus, dans la pratique, la
totalité de la doctrine traditionnelle
6. Comment se justifie cette effarante évolution?
7. Nous ne voyons pas comment cette évolution peut se concilier avec
l'enseignement immuable de Notre Seigneur Jésus-Christ
8. Comme fidèles, nous demandons le pain de la vérité; 9. Supplique pour une
clarification sans équivoque
VIII. La force du PSOE pour faire triompher la
«révolution effarante et tranquille»
1. Hégémonie dans le corps électoral
2. Raison de cette hégémonie : résonance libertaire avec les uns et
assoupissement chez les autres
IX. Le PSOE, un colosse aux pieds d'argile ?
1. La classe ouvrière n'est pas socialiste
2. La jeunesse non plus
3. Peu de militants et peu d'enthousiasme
4. Il n'entraîne pas l'opinion publique
5. Il a besoin de l'anesthésier...
6. ... mais il craint le réveil
X. Dénoncer la physionomie globale de la néo-révolution
«silencieuse»
Hors-texte :
Entre la vérité et l'erreur, le bien et le mal, la
réconciliation est impossible
Les nouveaux «monarchistes»
L’autogestion, utopie commune aux socialistes,
communistes et anarchistes