Fruit de la pensée de

Plinio Corrêa de Oliveira :

les Associations pour la Défense

de la Tradition,

de la Famille

et de la Propriété

- III -

 

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AUTOGESTION SOCIALISTE : les têtes tombent à l'entreprise, à la maison, à l'école - Une dénonciation qui a fait le tour du monde, Plinio Corrêa de Oliveira, 213 pages

Edité par la Société Française pour la Défense de la Tradition, de la Famile et de la Propriété - TFP

2, avenue de Lowendal 75007 PARIS

Dépôt légal : 3ème trimestre 1983

La rédaction du présent livre, à l'exception du Message et du Communiqué dont l'auteur est le professeur Plinio Corrêa de Oliveira, est de responsabilité de l'Editeur.

La victoire d’opérette d’Allende au Chili

En septembre 1970, le Chili tombe dans les mailles du communisme international. Avec seulement 36,3 010 des voix, le marxiste Salvador Allende arrive en tête à l'élection présidentielle. Les trompettes de la propagande de gauche — tout comme dans la récente victoire de Mitterrand — amplifient la portée de cette victoire électorale. Le marasme et le découragement s'emparent des secteurs les plus sains de la population, aussi bien au Chili que dans le reste du monde.

 

L’article-manifeste du Pr Plinio Corrêa de Oliveira

Le Pr Plinio Corrêa de Oliveira écrit alors, pour la « Folha de S. Paulo », l'article Toute la vérité sur les élections chiliennes, où il montre qu'Allende n'a obtenu que 1,47 07o d'avance sur le second candidat, avec 2,4 0/o de recul par rapport aux élections précédentes. Ainsi, sa victoire n'a pas la signification — claironnée par une grande partie des moyens de communication sociale — d'une défaite des forces conservatrices et de droite. De plus son accession au pouvoir ne pourra prendre effet si les députés de la Démocratie Chrétienne — qui ne cachent pas leur tendance socialisante — lui refusent leurs voix au moment de la décision à prendre, selon la Constitution chilienne, par le Congrès réuni en séance plénière (celui-ci a à choisir entre les deux candidats les plus votés). La Démocratie Chrétienne préfère laisser le pays sombrer dans l'abîme communiste. Cette attitude est d'ailleurs franchement encouragée par Mgr Silva Henriquez, Cardinal-Archevêque de Santiago.

 

Campagne dans toute l’Amérique du Sud

Les TFP sud-américaines se mettent alors en campagne pour rétablir la confiance dans les rangs non communistes de leurs pays respectifs, et diffusent sur les voies publiques de grandes villes des centaines de milliers de tracts contenant l'article du Pr Plinio Corrêa de Oliveira. Au Brésil, 550.000 ; en Argentine, 250.000 ; en Colombie, 50.000. En Uruguay, en Equateur et au Venezuela, l'article est publié dans la presse locale.

Ces interventions produisent un effet sensible au Chili. Car elles encouragent les nombreux Chiliens réfugiés dans les pays-frères sud-américains et par là influent sur l'opinion publique du pays andin, avec lequel ceux-ci gardent le contact. Par ailleurs, elles accentuent les réserves de plusieurs Etats sud-américains à l'égard du nouveau gouvernement chilien, ce qui représente un obstacle si commode installation au pouvoir.

De son côté, la TFP chilienne continue, dans la mesure où les circonstances le permettent, son action en territoire chilien. Il faut noter dans ce sens la pétition de plus de 50.000 collégiens et étudiants, professeurs et parents d'élèves, demandant à l'Episcopat de ce pays qu'il adopte une attitude de claire opposition vis-à-vis du projet d'Ecole Nationale Unifiée, proposé par le gouvernement marxiste. Projet semblable, soit dit en passant, à celui que Mitterrand destine à la France d'aujourd'hui. 

 

Un livre « prophétique » : « Frei, le Kerensky chilien »

Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que les TFP latino-américaines portent leur attention sur des circonstances de la vie civique et culturelle du Chili. Déjà, en 1967, un des directeurs de la TFP brésilienne, Fabio Vidigal Xavier da Silveira, a visité ce pays et écrit à son retour un reportage-analyse sur le gouvernement démocrate-chrétien du Président Eduardo Frei, montrant que la politique menée par celui-ci favorisait l'avènement du marxisme. Cet ouvrage, intitulé Frei, le Kerensky chilien, se trouve confirmé de façon impressionnante par la montée au pouvoir d'Allende et par le déroulement ultérieur des événements, et est alors considéré par beaucoup comme véritablement « prophétique ».

Avec plusieurs éditions en Amérique latine, le livre provoque une violente réaction du gouvernement chilien : celui-ci donne des instructions à tous ses ambassadeurs sur le Continent pour qu'ils s'efforcent par tous les moyens d'obtenir des gouvernements auprès desquels ils étaient accrédités, l'interdiction de divulguer le livre (2). Au Chili, la vente est prohibée, mais des exemplaires en provenance d'Argentine circulent clandestinement de la main à la main, au point qu'on voit s'établir à son sujet un « marché noir » très disputé.

 

Intenses activités de la TFP de 1971 à 1973

Les années 1971, 1972 et 1973 voient la TFP déployer d'intenses activités. Par exemple, son secteur universitaire promeut une campagne de présentation de l'Association dans les principaux centres d'enseignement du Brésil, telle la Faculté de Droit de l'Université de São Paulo. Ses « caravanes » amorcent la diffusion des « Dialogues sociaux », série de trois opuscules de niveau populaire, qui analysent à la lumière de la doctrine catholique les problèmes économiques et sociaux d'actualité. Trois cent mille exemplaires en sont vendus.

La Commission médicale de la TFP envoie un mémoire au Ministre de la Justice, s'opposant à toute tentative de libéralisation de la législation concernant l'avortement.

A la demande de ce même ministre, le Pr Plinio Corrêa de Oliveira lui présente un rapport signalant les aspects de l'avant-projet de Code Civil qui portent atteinte aux institutions de la famille et de la propriété privée.

Par ailleurs est lancée la diffusion d'un opuscule sur le Message de Notre Dame à Fatima, dans lequel la Vierge prophétise que « la Russie répandra ses erreurs à travers le monde », opuscule écrit par un membre de la TFP, Dr Antonio Augusto Borelli Machado, et dont 360.000 exemplaires ont été vendus.

Enfin, en parcourant 1.238 villes dans l'immensité du territoire brésilien, l'Association répand 93.000 exemplaires de la Lettre Pastorale sur les « Cursilhos de Cristandade » de Mgr Antonio de Castro Mayer, dans laquelle — fondé sur une documentation substantielle — l'illustre prélat dénonce l'appui donné par certains secteurs de ce mouvement i la subversion communiste.

 

L’ouverture du Vatican à l’égard des pays communistes atteint à son comble

L'année 1974 marque un apogée dans la nouvelle politique du Saint-Siège à l'égard des gouvernements communistes. Commencée sous le pontificat de Jean XXIII avec la fameuse entrevue accordée au gendre de Kroutchev, Adjubei, l'« Ostpolitik » vaticane se développe avec célérité.

Non seulement les visites et les amabilités se multiplient de part et d'autre, mais on cherche en plus à décourager ou même à écarter de leurs charges ceux qui dans les rangs catholiques continuent à combattre vaillamment le communisme. Au grand émoi du monde entier, on voit ce grand lutteur anticommuniste, le Cardinal Mindszenty, Primat de Hongrie, destitué sommairement de son siège archiépiscopal d'Esztergom par Paul VI.

Comme catholiques, les anticommunistes du monde entier voient se créer une situation vraiment insoutenable : à quel point peuvent-ils continuer à affirmer que leur position anticommuniste est une conséquence de la Foi catholique qu'ils professaient ?

En avril de cette même année, Mgr Casaroli (alors Secrétaire du Conseil pour les Affaires publiques du Vatican) se rend à Cuba et revient en assurant à la presse que les catholiques vivent heureux sous le régime du tyran Fidel Castro (cf. « O Estado de S. Paulo », 7-4-74). Cette affirmation effarante donne à la TFP l'occasion de manifester publiquement son respectueux mais ferme désaccord à l'égard de l'« Ostpolitik » vaticane. Comme les activités diplomatiques ne se situent pas dans le champ du magistère infaillible du Pontife Romain, il est licite à des catholiques de refuser leur adhésion à telle ou telle attitude du Vatican en la matière. 

 

Face à l’ « Ostpolitik » de Paul VI, la TFP se déclare en « état de résistance »

Aussi la TFP se déclare-t-elle, dans un vaste document publié en 45 journaux de tout le pays, en état de résistance vis-à-vis de l'« Ostpolitik » de Paul VI avec les régimes communistes.

« Résister — souligne le document de la TFP —, cela signifie que jamais nous ne ferons appel aux recours indignes de la contestation. Nous ne prendrons jamais une attitude qui s'écarterait de la vénération et de l'obéissance dues au Souverain Pontife, dans les termes du Droit Canon ». Et il conclut : « Dans cette démarche filiale, nous disons au Pasteur des Pasteurs : notre âme est Vôtre, notre vie est Vôtre. Commandez ce que vous voulez. Mais ne nous demandez pas de croiser les bras devant le loup rouge qui donne l'assaut. Notre conscience s'y oppose ».

Les autres TFP se solidarisent chaleureusement avec cette position, en publiant une identique Déclaration de Résistance dans les principaux journaux de leurs nations respectives, totalisant ainsi 73 publications du document en onze pays.

Aucune autorité ecclésiastique, aucun théologien au monde ne contestera la légitimité et l'orthodoxie irrépréhensible de cette attitude des TFP. 

*    *    *

Cuba la rouge doit-elle rentrer dans le concert des nations américaines ? – La TFP dit non !

Toujours en 1974, la TFP brésilienne déploie une intense activité pour éclairer l'opinion publique sur les effet néfastes de la réintégration de Cuba dans la communauté des nations américaines, préconisée alors par certains hommes d'Etat.

Le Pr Plinio Corrêa de Oliveira écrit une série d'articles dans la presse quotidienne. « Catolicismo » publie une édition spéciale sur le thème. Les TFP des Etats-Unis, de Bolivie, Colombie, Equateur et Venezuela divulguent cette matière dans leurs  pays respectifs. A la Conférence de l’Organisation des Etats américains (OEA), tenue à Quito en novembre 1974, la motion pro-castriste est rejetée.

 

Grandes et coûteuses opérations publicitaires contre la TFP

L'efficacité de l'action de la TFP n'est évidement pas de nature à plaire à la gauche brésilienne. Celle-ci, au contraire, enragée de se sentir continuellement démasquée dans ses manœuvres de séduction de l'opinion publique pour conduire le Brésil à une dictature marxiste, déchaîne périodiquement de grandes et coûteuses opérations publicitaires visant à démolir la méritante Association.

 

Confrontée à une cascade d’accusations sans fondement, la TFP les réfute avec sérénité

En 1975, par exemple, après le deuxième échec infligé au divorce, une véritable propagande-tonnerre s'abat sur la TFP et se répercute à la Chambre législative de plusieurs Etats. On fabrique un climat entièrement artificiel de calomnies et de mensonges. La TFP, toujours sereine, réfute en un document publié dans les principaux supports de communication du pays chacune des accusations soulevées contre elle par des secteurs de gauche.

 

De hautes personnalités se solidarisent avec la TFP

En contrepartie, de hautes personnalités religieuses, militaires et civiles, ainsi que d'éminents journalistes et de prestigieux organismes privés élèvent la voix en solidarité avec la TFP.

Seulement dans les huit mois que dure cette violente campagne, la TFP collectionne 1.923 nouvelles et articles publiés dans des journaux et revues du pays, pour l'attaquer ou la défendre.

D'ailleurs, la règle du débat de la TFP avec les communo-progressistes sera immanquablement celle-ci : toute opposition logique et courtoise de la TFP à l'égard d'une entreprise de la gauche se solde toujours par un silence déconcerté de ses adversaires, bientôt rompu par des propagandes-tonnerre.

 

Visites aux malades des hôpitaux : membres et coopérateurs s’y adonnent à tour de rôle

Pour bien comprendre le profil moral des membres et coopérateurs de l'association fondée par le Pr Plinio Corrêa de Oliveira, il faut encore s'arrêter sur un autre aspect : les visites périodiques qu'ils font aux malades des hôpitaux, à ces victimes de graves infirmités qui se trouvent si souvent oubliées du commun des hommes.

En plus du réconfort d'une conversation aimable et de l'encouragement d'une parole de Foi, ils apportent à ces infortunés des objets et des livres religieux, ainsi que des secours vestimentaires et des provisions. Ils ont déjà visité plus de 12.000 malades dans 620 villes du Brésil.

  

Joie à la favela : la TFP est là

Mais ce n'est pas tout. Les membres et coopérateurs de la TFP visitent les quartiers pauvres et les favelas des grandes villes brésiliennes, où ils distribuent dons en argent, vêtements, aliments et jouets, collectés lors de campagnes dans les quartiers aisés.

 

A Noël, les plus indigents ne sont pas oubliés

Déjà à plusieurs reprises, à l'occasion de Noël, ils ont parcouru les rues pour recueillir des dons et des médicaments pour les plus indigents. La dernière fois, par exemple, la TFP a envoyé des camions de vivres au Nord-Est brésilien pour les sinistrés des inondations qui s'étaient produites dans cette région.

 

Une analyse historique du communo-progressisme au Brésil

L'année 1976 est marquée par le lancement du livre L'Eglise devant l'Escalade de la Menace communiste — Appel aux Evêques silencieux, dans lequel le Pr Plinio Corrêa de Oliveira présente une étude méticuleuse et documentée de l'infiltration de gauche dans les milieux catholiques depuis 1943. A ce propos, il transcrit des poésies scandaleusement pro-communistes de Mgr Pedro Casaldaliga, Evêque-Prélat de São Félix de Araguaia. Ce livre contient également un résumé de l'ouvrage de la TFP chilienne, L'Eglise du Silence au Chili — La TFP proclame toute la vérité, qui dénonce le soutien continuel donné au communisme par le Cardinal Silva Henriquez et par tout un secteur de la Hiérarchie et du clergé de ce pays.

 

La double réaction de la « gauche catholique » se répète : attaques acrimonieuses, puis silence

Le livre du Pr Plinio Corrêa de Oliveira suscite d'acrimonieuses déclarations de l'épiscopat brésilien, dépourvues cependant de tout argument. Les réponses de la TFP à ces attaques restent sans réplique, tandis que plus de 50.000 exemplaires de l'ouvrage sont écoulés avec rapidité.

 

Nouvelle escarmouche progressiste : la défense du « paradis » indigène, sans propriété ni famille…

L'année suivante, le Pr Plinio Corrêa de Oliveira, toujours attentif aux manœuvres de l'ennemi de la civilisation chrétienne, écrit Tribalisme indigène, Idéal communo-missionnaire pour le Brésil du XXIe siècle, où il alerte le public sur le plus récent aspect de l'offensive progressiste au Brésil : une étrange conception de la missiologie catholique, selon laquelle il vaut mieux laisser les indiens vivre en païens à l'état sauvage, plutôt que de les civiliser, car ce sont eux qui prêchent le véritable évangile de la société sans classes, modèle pour la société civilisée ! Cette conception n'est ni plus ni moins qu'une version progressiste de la doctrine structuraliste de Lévi-Strauss.

L'ouvrage comptera sept éditions, rapidement diffusées par la TFP dans tout le Brésil.

 

La TFP en campagne pour les réfugiés du Vietnam e du Cambodge

Pendant la période 1977-78, la TFP s'engage dans une campagne en faveur des réfugiés du communisme au Viêtnam et au Cambodge. Le Pr Plinio Corrêa de Oliveira envoie un télégramme au Président nord-américain Jimmy Carter et à Paul VI, en observant que la déréliction où se trouvent les infortunés transfuges du communisme met en cause l'authenticité de la campagne mondiale que l'un et l'autre mènent en faveur des droits de l'homme. La Maison Blanche envoie une réponse aimable, mais peu convaincante. Le Vatican une fois de plus se tait.

D'autres télégrammes du Pr Plinio Corrêa de Oliveira se succèdent dans ce sens, à l'adresse de Carter et de Jean-Paul II. A propos d'un appel du gouvernement des Philippines au Brésil et à dix-neuf autres pays, pour qu'ils accueillent d'urgence sur leur territoire 2.300 réfugiés vietnamiens qui venaient d'arriver à Manille, la TFP fait valoir au Ministre des Affaires étrangères la nécessité pour le Brésil d'ouvrir généreusement ses portes à ces réfugiés. Quelque temps après, la TFP manifeste publiquement sa déception devant le refus du gouvernement brésilien.

  

« Je suis catholique : puis-je être contre la Réforme Agraire ? »

Vingt ans après la lutte contre la Réforme Agraire menée par la TFP au début des années soixante, la Conférence épiscopale brésilienne revient à la charge sur ce vieux thème lors de son assemblée générale de 1980.

Le livre du Pr Plinio Corrêa de Oliveira, Je suis catholique : puis-je être contre la Réforme Agraire ?, publié en 1981, fait une analyse exhaustive de la prise de position épiscopale et montre que la doctrine traditionnelle des Papes, loin de le préconiser, a toujours récusé le type de solution proposé par l'épiscopat brésilien. Dans ce même ouvrage, la position des évêques est aussi critiquée pour son absence totale de fondement sur le plan économique. L'auteur de cette analyse est le brillant économiste Carlos Patricio del Campo.

En parcourant les plus diverses localités du pays et en montant des stands dans les principales foires agricoles, la TFP écoulera en peu de mois quatre éditions de ce vaillant ouvrage. 

 

« Les CEBs… on en parle beaucoup, on en sait peu de chose. La TFP les décrit telles qu’elles sont »

En août 1982, la TFP lance un nouveau livre : Les CEBs... on en parle beaucoup, on en sait peu de chose — La TFP les décrit telles qu'elles sont. Le Pr Plinio Corrêa de Oliveira y brosse à grands traits le tableau de l'actuelle situation brésilienne et montre comment la Conférence Nationale des Evêques du Brésil (CNBB) constitue aujourd'hui le fer de lance de la gauche dans ce pays, se servant pour cela de la vaste et tentaculaire organisation connue sous le nom de Communautés Ecclésiales de Base (CEBs). La genèse, l'organisation, la doctrine et l'action des CEBs sont clairement exposées, à partir d'une abondante documentation, par deux membres de la TFP, MM. Gustavo Antonio Solimeo et Luiz Sergio Solimeo. Lancé depuis peu, l'ouvrage provoque une profonde réaction dans la gauche brésilienne, laquelle ne trouve pas comment réfuter le livre. Quatre éditions jusqu'à présent, 32.000 exemplaires.

Voilà dans ses grandes lignes — jusqu'à décembre 1982 et abstraction faite de la campagne menée autour du Message sur le socialisme autogestionnaire — l'histoire de la grande œuvre de Plinio Corrêa de Oliveira : la TFP. La TFP qu'il a fondée, formée et menée glorieusement à ce que l'immortel poète portugais Camões appelle les « cristãos atrevimentos » (chrétiennes hardiesses).

 

Avec flamme et courage, des jeunes propagent partout les idéaux de la TFP

Au fil des années et des luttes, des jeunes épris d'idéal et indignés de la douloureuse situation présente des valeurs sacrées de la civilisation chrétienne sont venus en nombre toujours croissant se ranger sous l'étendard de la TFP. Sacrifiant intérêts et commodités personnelles, ces jeunes consacrent tous leurs efforts à transmettre au public le message de la TFP. 

 

Plinio Corrêa de Oliveira est l’âme de cette lutte en faveur de la Civilisation Chrétienne

Catholique ardent, batailleur infatigable, Plinio Corrêa de Oliveira est l'homme de vraie culture, à l'esprit lucide, d'où viennent toute la prévision, l'orientation et l'impulsion dans cette lutte en défense de la civilisation chrétienne. Son exemple et sa parole sont pour les membres de la TFP une source intarissable d'entrain et d'enthousiasme, qui les conduit à la lutte avec assurance, les raffermi dans l’adversité et les exhorte pour la victoire finale ! 


Note :

(2) Cf. « Catolicismo », n. 205, janvier 1968.

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